La Grande Guerre en Picardie.

En 1914, une partie de la région subit l'invasion allemande. Les Allemands progressent jusqu'à Senlis, à une cinquantaine de kilomètres de Paris, et occupent quelques jours Amiens. Après la bataille de la Marne et la stabilisation du front, une partie de la Picardie subit, jusqu'au printemps 1917, l'occupation allemande. Cette zone occupée représente environ 16 % de la Somme (en particulier Péronne et sa région), 55 % de l'Aisne (où Laon et Saint-Quentin sont occupés), et 10 % de l'Oise (Noyon et ses environs). Le territoire occupé est coupé du reste de la France libre par un front qui représente une frontière étanche. La quasi impossibilité de correspondre interdit aux populations occupées de connaître le sort de leurs soldats partis en août 1914. La presse française est censurée. Cet isolement favorise la germanisation culturelle du territoire occupé, qui est considéré comme un réservoir de main-d'œuvre, de matières premières et de biens manufacturés. Les Allemands imposent le travail forcé aux habitants, les contraignant parfois à des tâches contraires aux conventions de La Haye. Ils procèdent à de nombreuses réquisitions. Celle du cuivre scandalise particulièrement les habitants, car les objets saisis sont transformés en munitions qui pourront tuer les leurs. Toutefois, au fil des mois, une certaine détente, un certain accomodement apparaissent. Des soldats nouent des relations avec des femmes et des enfants français. En 1917, le repli allemand sur la ligne Hindenburg libère le territoire picard, mais les Allemands en retraite y ont procédé à de nombreuses destructions.


 

1 - La Ceriseraie vous propose : 

 La Clairière de l'Armistice.

A Rethondes (60_Oise), 26km de la Ceriseraie.

 

Située dans la forêt domaniale de Compiègne et mondialement connue, la clairière de l’Armistice est l’un des lieux les plus marquants de la Grande Guerre car elle symbolise le tout début du retour à la paix. En effet, les plénipotentiaires allemands, peu après 5 heures du matin le 11 novembre 1918, signent l’armistice dans la voiture-bureau 2419 D du maréchal Foch. Dans l’attente de la conclusion du traité de paix (28 juin 1919), l’armistice prend effet 6 heures plus tard. Il met fin aux combats, qui depuis le début du conflit, avaient tué 9 millions de soldats. 

En 1922, le site est aménagé par l’architecte Magès qui crée une allée de 250 mètres de long se terminant par un rond-point de 100 mètres de diamètre au centre duquel se trouve la « Dalle Sacrée ». Les emplacements des wagons de Foch et des plénipotentiaires allemands sont aussi matérialisés sur le sol par des dalles en granit. Un abri financé par un riche donateur américain, Henry Arthur Fleming, permet d’accueillir, en 1927, le célèbre wagon qui commençait à se détériorer dans la cour des Invalides à Paris. 

Maj Site_02/18, Source "Musée Territoire 14-18". 



Photo, La Ceriseraie.
Photo, La Ceriseraie.

 

2 - La Ceriseraie vous propose : 

La tour d'Observation du Général Mangin.

Tour du Général Mangin (02-Villers Cotteret) 20km de la Ceriseraie.

 

Suite à la ruée allemande du printemps et, après les violents combats qui se sont déroulés durant tout le mois de juin sur les lisières de la forêt de Retz, les troupes françaises et alliées préparent leur riposte. Le 18 juillet 1918, à 4h35 précises, les hommes et les chars d'assaut, dissimulés des Allemands grâce au couvert offert par la forêt de Retz, s'élancent en direction des plateaux. C'est le début de la contre-offensive dite de Villers-Cotterêts. Le général Charles Mangin dirige celle-ci depuis un observatoire de bois, érigé entre les arbres, sur l'un des points les plus hauts de la forêt de Retz, la butte Réaumont où, déjà en 1914, le général Maunoury avait fait élever un observatoire temporaire. Les Allemands, surpris, ne parviennent pas à tenir leurs positions et l'armée Mangin se dirige vers Soissons qui est libérée quelques jours plus tard. Cette contre-offensive victorieuse marque le début de la fin de la guerre et l'espoir retrouvé des soldats comme des civils.

La tour d'observation devait disparaître lors d'une tempête en octobre 1924. Une stèle en granit des Vosges, rappelant cet important fait d'arme, est inaugurée le 14 novembre 1926 en présence de la famille du général Mangin, décédé l'année précédente.

A l'occasion du centenaire de la Première Guerre mondiale, la tour d'observation a été reconstruite. Accessible librement et gratuitement toute la journée, toute l'année, la tour d'observation du général Mangin propose aux visiteurs de découvrir la forêt de Retz et sa biodiversité ainsi que le rôle déterminant joué par cette ancienne forêt prisée des rois de France lors de la Grande Guerre. Au huitième et dernier étage, à 25 mètres de haut, un panorama imprenable sur le massif et les plateaux du Soissonnais et de la vallée de l'Aisne s'offre aux courageux. Saurez-vous repérer la cathédrale de Laon grâce à la longue vue ?

 

 

Maj Site_11/18, Source "OT de Retz en Valois".



Image, Blérancourt Tourisme.
Image, Blérancourt Tourisme.

3 - La Ceriseraie vous propose : 

Musée Franco-Américain du Château de Blérancourt.

A Blérancourt (02_Aisne), 43km de la Ceriseraie.

 

Le musée franco-américain de Blérancourt est un musée d’art et d’histoire. Ses collections rendent compte de la richesse et de l'ancienneté des relations entre la France et les États-Unis du point de vue historique, culturel et artistique, du XVIIème siècle à nos jours.

Le musée franco-américain du château de Blérancourt, unique musée consacré à des relations entre deux pays, et plus spécifiquement à la France et aux Etats-Unis d’Amérique, est situé à 120 km au nord de Paris et à 15 km de la gare de Noyon.

Construit en 1612 sur les plans du célèbre architecte Salomon de Brosse, le Château de Blérancourt fut la demeure de la riche famille des Potiers de Gesvres, avant démantellement pendant la Révolution. En ruines à la fin du19ème siècle, il est confié en 1917 par l’Armée française à Anne Morgan, fille du fameux banquier et collectionneur américain John-Pierpont Morgan. A la tête d’une association d’aide aux populations des régions sinistrées par la guerre, le Comité Aide pour les Régions Dévastées, elle poursuit jusqu’en 1924 son action humanitaire et participe à la reconstruction de la région Picardie grâce aux missions suivantes : service d’infirmières-visiteuses, ravitaillement, aide à la lecture publique, foyers et jardins d’enfants, scoutisme, sports et fêtes. Grâce à,un parc automobile de Ford-T, les volontaires peuvent ainsi desservir 130 villages à partir de 5 centres établis à Blérancourt, Coucy-le-château, Anizy-le-château, Vic-sur-Aisne et Soissons. Au plus près des populations sinistrées, elles participent activement à une reconstruction morale et sociale et apportent la joie de vivre dans une région détruite à 90 % lors du conflit mondial.

 

Maj Site_11/18, Source "Chemin de Mémoire". 



Image, Musée de la grande guerre_Twitter.
Image, Musée de la grande guerre_Twitter.

 

4 - La Ceriseraie vous propose :

Musée de la Grande Guerre.

Meaux (77_Seine et Marne), 45km de La Ceriseraie.

 

A l’origine du musée, il y a un homme, Jean-Pierre Verney, historien passionné, qui a rassemblé pendant près de 50 ans objets et documents pour raconter l’histoire de la Première Guerre mondiale. En 2005, le Pays de Meaux achète cette collection exceptionnelle de plus de 50 000 pièces et décide de bâtir un musée pour valoriser son histoire ! 
Aujourd'hui, ce sont 65 000 objets et documents qui constituent la collection !

Le musée de la Grande Guerre rassemble une collection riche et diversifiée qui lui permet d’aborder le conflit aussi bien sur le plan technique et militaire que du point de vue humain et sociétal. Découvrez des uniformes complets représentant la plupart des pays belligérants, des pièces d'armement et d'artillerie, du gros matériel, des objets de la vie quotidienne sur le front ou à l'arrière ainsi qu’un fonds documentaires et d'arts graphiques d'une grande richesse.

 

Maj Site_04/18, Source "Musée de la Grande Guerre"

 

 



Photo, La Ceriseraie.
Photo, La Ceriseraie.

5 - La Ceriseraie vous propose :  

Les « Fantômes » de Landowski.

 A Oulchy-Le-Château (02_Aisne) 48km de la Ceriseraie.

 

 

Le monument national de la seconde bataille de la Marne est un monument commémoratif de la Première Guerre mondiale réalisé par Paul Landowski, érigé dans la plaine de Chalmont sur le territoire de la commune d'Oulchy-le-Château, dans le département de l'Aisne, à l'endroit précis où se décida le sort de la seconde bataille de la Marne en 1918. Ce monument comprend la sculptures Les Fantômes, un groupe lié monumental réalisé aussi par le sculpteur français Paul Landowski (1875-1961).

En novembre 1919, Landowski reçoit la commande de l'État de réaliser un projet en plâtre d'un monument. Landowski le dénomme Les Morts, bien que celui-ci présente déjà des fantômes, préférés à des gisants. Ce groupe en granit obtient une médaille d'honneur en 1923 au Salon des artistes français. Plusieurs lieux seront étudiés pour l'implantation du monument : Verdun, puis l'ossuaire de Douaumont, et enfin la butte de Chalmont à Oulchy-le-Château, qui vit les Allemands se replier, en particulier le 28 juillet 1918. La commande officielle est passée en juillet 1926.

Ce sont les Anciens Combattants eux-mêmes qui choisirent le lieu où devait s'élever le monument. Celui-ci a été classé au titre des monuments historiques en 1934 avant son achèvement, ce qui est tout à fait inhabituel, et il a été inauguré le 21 juillet 1935 par le président de la République, Albert Lebrun.

 

 

 

 

 

Maj Site_08/18, Source "Wikipedia". 


Image, Loisiramag.fr
Image, Loisiramag.fr

 

6 - La Ceriseraie vous propose :

Le Musée de la mémoire du Bois Belleau.

Le Musée et le Cimetière, à Belleau (02_Aisne) 50km de la Ceriseraie.

 

Juin 1918. Les troupes américaines de l’American Expeditionary Force engagent une grande contre-offensive dans le Sud de l’Aisne.

Le bois de Belleau devient le théâtre de l’une des plus féroces batailles de la Première Guerre mondiale.

Très célèbre aux Etats-Unis, ce bois chargé d’histoire est aujourd’hui le lieu emblématique de la commémoration du Mémorial Day, jour du souvenir consacré à la mémoire des forces américaines engagées en France pendant la Grande Guerre. Grâce à la mairie de Belleau et de Château-Thierry, à la Communauté d’Agglomération de la Région de Château-Thierry et à la région Hauts-de-France, le musée vous ouvre ses portes et vous emmène en ce mois décisif de juin 1918, au cours de la bataille qui permit de stopper l’avancée allemande vers Paris.

Maj Site_08/18, Source "Chateau-Thierry". 



Photo, Wikipedia.
Photo, Wikipedia.

7 - La Ceriseraie vous propose :

Le Fort de Condé,

A Condé-sur-Aisne (02_Aisne), 58km de la Ceriseraie.

 

est une fortification militaire qui fait partie du deuxième grand système de fortifications, après celui de Vauban, places à forts détachés, construit en France entre 1874 et 1885 par le directeur du Génie, le général Séré de Rivières.

Il est construit sur les hauteurs de la confluence entre les vallées de l'Aisne et de la Vesle sur les communes de Condé-sur-Aisne et de Chivres-Val.

Le Fort de Condé, ou Fort Pille, faisait partie du glacis censé interdire l’accès à Paris, à l’instar d’autres forts du Laonnois, tels ceux de Bruyères, Montbérault ou Mons.... Cet ensemble de fortifications répond à la nécessité d'améliorer la défense des nouvelles frontières au lendemain de la défaite de 1870.

Le fort est construit de 1877 à 1882 sur un point élevé entre ReimsSoissons et Laon. D'une superficie de 13 hectares, il peut accueillir jusqu'à 650 hommes dont 20 officiers. En 1885, deux compagnies du 67e régiment d'infanterie (500 hommes) viennent y tenir garnison. Une infirmerie peut abriter 80 malades. L'écurie est prévue pour 12 chevaux ; des magasins à poudre et à munitions, une forge, un atelier à bois et deux puits occupent les autres parties aménageables.

Les progrès de l'artillerie au début du XXe siècle le rende rapidement obsolète et il est déclassé en 1912. Il devient alors un simple lieu de casernement pour l'armée.

Sa situation très proche du Chemin des Dames a fait de lui un endroit très convoité par les armées française et allemande qui se le sont disputé durant les quatre années de la Première Guerre mondiale. Les Allemands l'occupent jusqu'à l'offensive de Nivelle en 1917 au cours de laquelle il est pris par les Français. Les Allemands s'en emparent à nouveau le 28 mai 1918 et les Français le reprennent le 7 août.

Après la guerre, le fort ne sert que de centre de désobusage progressivement envahi de végétation et se dégrade progressivement. Il est racheté en 1959 par la commune de Chivres-Val (de laquelle part la route d'accès) et sert alors de carrière de pierres.

Maj Site_03/18, Source "Wikipédia". 



 8 - La Ceriseraie vous propose : 

 La Caverne du Dragon.

A Oulches-La-Vallée-Foulon (02_Aisne) 85km de la Ceriseraie.

 

 

La Caverne du Dragon est une carrière souterraine creusée dans le calcaire du plateau du Chemin des Dames et située près de l’isthme de l’Hurtebise. Ces carrières ou creutes que l'on retrouve dans la Somme comme dans l'Aisne, ont été utilisées comme abris, postes de secours, pour accueillir des états-majors ou bien, comme c'est le cas ici, comme poste défensif avancé.

Durant la première guerre mondiale, pour conforter leurs positions sur le plateau du Chemin des Dames, les Allemands lancent une attaque victorieuse sur la caverne le 25 janvier 1915 se trouvant ainsi à six-cents mètres de la première ligne française. Ce poste avancé est alors protégé et aménagé : les Allemands y amènent l'électricité et le téléphone, un puits y est creusé et une chapelle est même édifiée. Enfin, ils relient la Caverne avec les lignes arrières par l'intermédiaire d'un tunnel. Ainsi, en cas d'attaque, les renforts et les munitions arrivent rapidement et sans encombre tandis que les blessés sont évacués.

Le 16 avril 1917, lors de l'assaut de « l'Offensive Nivelle », les hommes sortant de la Caverne du Dragon prennent à revers les troupes françaises qui s'étaient lancés à la conquête de l'isthme d'Hurtebise. L'existence de nombreuses creutes reliées à l'arrière par des tunnels est une des explications de l'échec brutal de l'offensive.

Les Français, après plusieurs attaques en avril et mai 1917, tiennent quelques tranchées au niveau de l'isthme de l'Hurtebise. Le 25 juin, la 164e division d'infanterie est chargée de mener une nouvelle attaque pour contrôler l'ensemble de l'isthme. Lors de cette attaque, les Français découvrent l'entrée du tunnel et prennent les Allemands au piège. Cette passe d'armes est alors célébrée comme une grande victoire militaire en France.

Aujourd'hui, la Caverne du Dragon a été aménagée par le Conseil Général de l'Aisne en un espace muséographique. Elle a subi plusieurs aménagements architecturaux et artistiques pour mettre en valeur le site par des jeux de lumières incluant également écrans, panneaux et vitrines. L’histoire y est présentée sous plusieurs aspects mettant en exergue la vie du soldat sur le Chemin des Dames et la Caverne du Dragon.

 

Maj Site_05/18, Source "Verdun-Meuse.fr". 



Image, Bodoi.info
Image, Bodoi.info

 

9 - La Ceriseraie vous propose : 

Historial de la Grande Guerre (Péronne).

A Péronne (80_Somme) 97km de la Ceriseraie.

 

Construit par le Conseil départemental de la Somme en 1992, l’Historial, musée de la Grande Guerre est ancré au château médiéval : il est une transition harmonieuse entre les vestiges du passé et une audacieuse construction contemporaine : l’architecte Édouard Henri Ciriani le décrit comme : « Un parcours symbolique de la guerre à la paix ».
L’Historial est un musée saisissant et somptueux mais en même temps, il inspire l’humilité et la pudeur. Il nous offre un regard comparatif et objectif des douloureuses expériences des trois principaux belligérants dans la chronologie historique. Il décrit avec retenue, afin de laisser libre l’imagination dans toute la perception émotionnelle du visiteur, la vie et la souffrance humaine dans sa dimension universelle. Au détour d’objets au premier abord insignifiants car du quotidien, et pourtant rigoureusement sélectionnés et authentiques, nous découvrons la petite histoire de nos aïeux qui ont fait l’histoire avec un grand H.
Les collections riches de plus de 1 600 objets exposés et la qualité des expositions temporaires vous éclairent sur les dimensions historique et militaire du premier conflit mondial mais l’Historial est aussi un musée des sociétés.
 

Maj Site_10/18, Source "www.somme14-18.com". 



musée fort de la pompelle reims france bleu champagne-ardenne.
musée fort de la pompelle reims france bleu champagne-ardenne.

 

10 - La Ceriseraie vous propose : 

Musée du Fort de la Pompelle.

A Puisieulx (51_Marne), 112km de la Ceriseraie

 

Le fort de la Pompelle fut construit de 1880 à 1883 pour compléter la ceinture fortifiée de Reims, conçue par le général Séré de Rivières après la guerre de 1870. D'une superficie de 2,31 ha,il était doté d'une artillerie de six canons de 155 mm courts, modèle 1881, du système de Bange et de quatre canons de 138, auxquels s'ajoutaient des pièces de flanquement et mitrailleuses. Une compagnie d'artilleurs de 277 hommes tenait garnison dans le fort.

Désarmé en 1913, le fort est occupé sans combat par les Allemands le 4 septembre 1914. C'est seulement après la victoire de la Marne qu'il sera reconquis par des soldats français du 138e Régiment d'Infanterie, le 24 septembre 1914.

C'est alors que le fort de la Pompelle va jouer un rôle prédominant, devenant la clé de voûte de la défense du secteur de Reims. En effet, les bombardements allemands sont très importants dans la région, détruisant pratiquement la ville de Reims. Mais l'acharnement des hommes du fort parvient à contenir les assauts successifs de l'armée allemande (attaques d'infanterie, bombardements, mines, etc.).

Cent quatre-vingts régiments, dont deux brigades spéciales russes envoyées par le tsar Nicolas II en 1916, vont se succéder pour défendre le fort. À ce moment-là, c'est non moins de mille cinq cents à deux mille hommes qui sont présents sur le site. On peut facilement imaginer les conditions de vie... mais le fort ne sera jamais repris, contrairement aux autres forts alentours. Les hommes du fort furent aussi fortement aidés par la marine nationale dont les canonnières stationnaient sur le canal entre Sept-Saulx et Courmelois, et qui de cet endroit bombardaient les lignes allemandes. Enfin, le 1er Corps d'Armée Colonial du général Mazillier s'y couvre de gloire durant la Bataille de Champagne de 1918.

 

Maj Site_11/18, Source "Wikipedia". 



N'oubliez pas La Ceriseraie est aussi et surtout un gîte rural de grande capacité. 

Page, mise à jour le 30/11/24.

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